Note entreprises n°10 - 8 mai 2018

Le 1er, le 5, le 26…




Les manifestations s’enchainent. Nous y prenons part, car elles entretiennent un climat revendicatif dans le pays. Pourtant, nous savons qu’elles ne sont pas suffisantes : ni pour gagner sur les revendications immédiates, qu’elles soient professionnelles ou interprofessionnelles ; ni pour aller vers une rupture dans l’organisation de la société. Ce qui compte, c’est le blocage de l’économie, c’est la grève active avec assemblées générales quotidiennes, ou du moins régulières, coordonnée démocratiquement.

 
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